EN CIRCONSCRIPTION

Rencontre autour de la problématique de l’eau en Guadeloupe

Le mercredi 15 décembre j’ai participé à la rencontre initiée par la délégation parlementaire de La France Insoumise avec le collectif « Moun Gwadloup » et des associations d’usagers, concernant la problématique de l’eau en Guadeloupe. 

C’est dans le prolongement de la commission d’enquête parlementaire relative à la mainmise sur la ressource en eau par les intérêts privés, pour laquelle j’étais rapporteur que les discussions ont eu lieu.

Comme nous l’avons déjà signalé, il est urgent que les guadeloupéennes et les guadeloupéens aient de l’eau en quantité et en qualité satisfaisante dans leurs robinets.

Dans cette optique, nous avons saisi, conjointement avec la LFI, le défenseur des droits sur cette question cruciale du manque d’eau en Guadeloupe. Cette situation est depuis trop longtemps insupportable. 

Nous continuons à œuvrer pour que les responsabilités soient prises à tous les niveaux afin de permettre un retour à une situation acceptable.

Retrouvez un extrait de cette rencontre ici. 

Action solidaire à Marie-Galante avec le Secours Catholique 

Le 19 décembre, j’ai été représenté par mes collaborateurs lors d’une action solidaire organisée par le Secours catholique à Marie-Galante. J’ai tout naturellement répondu présent à cette invitation visant à renforcer l’entraide, l’amour et le mieux vivre ensemble. En cette période de Noël, nous avons offert des présents aux familles de l’île. 

Aujourd’hui nous avons besoins d’écoute, d’échange, de communication.

Je salue cette action citoyenne montrant que : « Nou tout fanmi »

« Awtis an rézistans » au Centre des Arts

Résolument engagé pour la reconnaissance des talents guadeloupéens, le 21 décembre 2021, je me suis rendu à Pointe-à-Pitre où l’art s’exprime sous toutes ses formes sur le chantier du Centre des arts. Du sol au plafond, danseurs, graffeurs, plasticiens ou encore des photographes occupent l’espace depuis 1 an par le biais du CAC (Critique artistique et culturelle). 

Face à une situation qui n’a que trop duré, ils ont trouvé l’art et la manière d’entrer en résistance pour se faire entendre.

Munis de pinceaux, de bombes, de peinture et au son du Ka, les artistes usent de créativité, d’ingéniosité pour faire entendre leur voix. Je salue cette action artistique et pacifique qui demande à l’État, à la communauté d’agglomération Cap Excellence et à la Région de concevoir une nouvelle politique culturelle en concertation avec les artistes. 

Ce fut un énorme plaisir d’aller à la rencontre des « Awtis an rézistans » qui se sont réinventés pour continuer à vivre de leur art, accueillant le public dans des lieux totalement inédits, mais qui ne pouvaient être que des solutions provisoires. 

Fermé depuis 13 ans, le Centre des arts était le temple de la culture en Guadeloupe et un haut lieu de l’expression artistique caribéenne. 

Retrouvez un extrait de ma visite ici. 

Remise de paniers de Noël à Pointe-à-Pitre

En tant que député de la 1ère circonscription et Président de EKO ZABYM, j’ai pris plaisir à aller à la rencontre des familles de Pointe-à-Pitre pour leur offrir un panier de Noël.

J’étais notamment accompagné d’adjoints au maire de Pointe-à-Pitre, de l’association La Tyrolienne présidée par Éric NANETTE, ainsi que des représentants des mouvements EKO ZABYM et du PAP président par Georges BREDENT. 

C’est toujours une joie pour moi d’aller à la rencontre de la population en leur apportant du bonheur. Je remercie chaleureusement ces familles pour leur accueil et leur bienveillance.

Retrouvez un extrait ici. 

Remise de paniers de Noël à Morne-À-L’eau

En tant que député de la 1ère circonscription et Président de EKO ZABYM, j’ai pris plaisir à aller à la rencontre des familles de Morne-À-L’eau pour leur offrir un panier de Noël.

J’étais notamment accompagné de M. Joubert LUCE, 2ème Adjoint au maire de Morne-À-L’eau et vice-président du CCAS.

Retrouvez un extrait ici. 

Remise de paniers de Noël aux Abymes

En tant que député de la 1ère circonscription et Président de EKO ZABYM, j’ai pris plaisir à aller à la rencontre des familles des Abymes pour leur offrir un panier de Noël.

J’étais notamment accompagné de Aurélie BITUFWILA-YERBÉ – Conseillère Régionale, de Louis GALANTINE- Vice-Président du conseil départemental, Marylène ADHEL, Conseillère Départementale du 3e canton des Abymes, de Lise AZEDE, conseillère Municipale, de Max BARBEU, de Jean- Philippe LAINÉ, de Sarah DEROCHE, Harry DEROCHE, de Curtis CLAUDEON, de Karine FANTIN, de Josiane PERAMIN et d’autres fidèles Foumiwouj de notre mouvement EKO ZABYM.

Retrouvez un extrait ici. 

Remise de paniers de Noël à Marie-Galante

En tant que député de la 1ère circonscription et Président de EKO ZABYM, j’ai pris plaisir à aller à la rencontre des familles de Marie-Galante pour leur offrir un panier de Noël.

Pour cette action, j’ai été accompagné par M. Claude RULLE, maire adjoint de la ville de Grand-Bourg et délégué à l’environnement. Je salue aussi la présence de M. Jean-Marc HEGESIPPE, 1er adjoint au maire de Saint-Louis. En dernier lieu et de par son implication personnelle, je remercie chaleureusement M. Jean-Claude MAES, maire de Capesterre de Marie-Galante.

Le but de cette opération est d’apporter amour, sérénité et disponibilité à des familles de la belle Marie-Galante.

Retrouvez un extrait ici.

A L’ASSEMBLÉE NATIONALE

Projection du film « Guadeloupe : Mémoires indiennes d’engagisme »

Le 1er décembre, en tant que Président de la Délégation aux Outre-mer, en partenariat avec l’association Gopio Guadeloupe et la Coproduction Petite-Terre, a eu le plaisir de projeter le film documentaire « Guadeloupe : Mémoires indiennes d’engagisme » de Monsieur Joy BANERJEE.  

Ce documentaire  donne la parole à plusieurs descendants d’engagés indiens venus à partir de 1854 remplacer les esclaves affranchis qui travaillaient jusque-là dans les plantations de canne à sucre.  Qu’ils soient fonctionnaires, écrivains, agriculteurs, représentants associatifs, tous veulent honorer la mémoire de leurs ancêtres, victimes méconnues de la colonisation française. Le film montre aussi comment cette histoire douloureuse s’inscrit dans la société guadeloupéenne d’aujourd’hui.  

Audition à la Délégation aux Outre-mer :
Les enjeux de la lutte contre la mauvaise alimentation dans les Outre-mer

Le 6 décembre s’est tenue une audition par visioconférence sur les enjeux de la lutte contre la mauvaise alimentation dans les Outre-mer en présence de Mme Virginie BEAUMEUNIER, directrice générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), de Mme Isabelle RICHARD, sous-directrice des politiques publiques de la  Direction Générale des Outre-mer (DGOM), et M. Mikael QUIMBERT, son adjoint,  sur l’application de la loi n° 2012-1270 du 20 novembre 2012 relative à la régulation économique Outre-mer et portant diverses dispositions relatives aux Outre-mer, dite « loi Lurel ». 

En 2019, la députée Mme Maud Petit et le député M. Jean-Philippe Nilor ont mené une mission d’information sur « le sport et la santé dans les Outre-mer ». Ce travail, qui les a conduits jusqu’en Polynésie, dresse un terrible constat des pathologies dont souffrent les ultramarins, en particulier en matière de surpoids, d’obésité parfois morbide, de diabète, d’hypertension, de cholestérol, etc. La situation, bien pire que dans l’hexagone, s’aggrave constamment. Et la principale raison mise en avant par les spécialistes, loin avant la sédentarité ou le manque d’exercice physique est la mauvaise alimentation des populations.

La question s’est alors posée de la différentiation d’alimentation entre les Outre-mer et l’hexagone. Et d’une manière unanime, les personnes interrogées par les rapporteurs ont affirmé que les produits alimentaires vendus dans les Outre-mer semblaient plus sucrés, au goût, que ceux commercialisés dans l’hexagone.

Ce constat n’est pas nouveau : il avait été fait dix ans plus tôt et avait abouti à l’adoption de la loi dite « Lurel », du nom du ministre des Outre-mer de l’époque. En vertu de cette loi, les produits alimentaires ou boissons vendus Outre-mer ne pouvaient pas contenir plus de sucres que les produits équivalents vendus dans l’hexagone. 

En octobre 2021, la DGCCRF publie un rapport sur la bonne application de ladite loi. Pour autant, la DGOM a aussi « publié » un rapport (non rendu public) sur ce sujet en décembre 2020.

Les deux rapports étaient plutôt divergents. Alors que celui de la DGCCRF se veut plutôt rassurant sur l’application de la loi, celui de la DGOM nous dit dans une jolie périphrase que « l’application de la loi n’apparaît pas effective ». 

Cette audition a donc été l’occasion pour les deux administrations de donner leur point de vue sur l’application de la loi Lurel. Retrouvez l’audition ici. 

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